Quand épanouissement des salariés rime avec performance



Romain Zerbib


Plus qu’une tendance, c’est devenu une évidence : l’entreprise du 21e siècle se doit de tout mettre en œuvre pour que ses salariés se sentent bien. Car un collaborateur plus épanoui est aussi un collaborateur plus performant. L’agilité peut-elle favoriser le bien-être et agir comme un levier de performance ? La réponse est oui.



Le client était au cœur du concept premier d’agilité qui a émergé dans les années 1990, sous l’influence d’évolutions technologiques de plus en plus rapides. Il le reste aujourd’hui lorsque l’on transpose le modèle agile hors de la sphère IT. Dans la sphère RH, par exemple, le salarié est devenu client. Il est le client du service RH (gestion des talents, plan de carrière, politiques marque employeur, …), celui autour de qui et pour qui le projet se construit. De la même manière, il peut être le client d’autres équipes avec lesquelles il travaille en transverse, tandis que d’autres parties prenantes de l’entreprise sont également ses clients. Dans une entreprise agile, tous ces liens, toutes ces interconnexions sont gérées, traitées selon des principes clés avec, pour finalité, de répondre au mieux et au plus vite à la demande, aux besoins ou aux attentes des clients finaux, eux-mêmes investis dans le projet (lire aussi la chronique "Et si la performance passait simplement par l’agilité " ).

Le concept d’agilité implique donc de remettre l’humain au centre des préoccupations de l’entreprise. Appliqué aux RH, ce principe pourrait se décliner en quatre points et valeurs :

Lire la suite sur le site de la Harvard Business Review France.

Romain Zerbib