Avez-vous déjà un retour d’expérience des écoles ou des entreprises sur ces formations ?
A la fin de chaque formation, nous demandons aux participants de réfléchir et de laisser mûrir les méthodes et concepts que nous leur avons inculqués avant de les appliquer. Une de nos participantes a récemment écrit un article, publié dans The Economist, deux mois après la formation suivie dans le cadre du MBA de HEC dans lequel elle dit :
« Dans un premier temps, il est difficile d’appréhender le rapport entre l’armée et une entreprise ou une grande école. Mais pour beaucoup, c’est la première fois qu’ils doivent mener une action sous pression. Même si les conditions sont simulées, les aspects personnels ne le sont pas. Les leaders sont responsables de l’atteinte de l’objectif (…). Manager avec succès une équipe demande davantage que les connaissances que nous apprenons sur les bancs de l’école. Cela requiert des capacités de réflexion, de motivation des équipes, d’instauration du respect, de délégation et d’adaptation au caractère de chacun. (…) » (4).
De nombreux participants nous indiquent que leur environnement de travail a changé après être passé chez nous, et cela notamment grâce à la formation reçue. Plusieurs nous disent vouloir revenir pour un second niveau de formation. Enfin, nous avons très peu de commandes uniques : les entreprises nous renouvellent très souvent leur confiance, en nous envoyant de nouveaux collaborateurs à former.
« Dans un premier temps, il est difficile d’appréhender le rapport entre l’armée et une entreprise ou une grande école. Mais pour beaucoup, c’est la première fois qu’ils doivent mener une action sous pression. Même si les conditions sont simulées, les aspects personnels ne le sont pas. Les leaders sont responsables de l’atteinte de l’objectif (…). Manager avec succès une équipe demande davantage que les connaissances que nous apprenons sur les bancs de l’école. Cela requiert des capacités de réflexion, de motivation des équipes, d’instauration du respect, de délégation et d’adaptation au caractère de chacun. (…) » (4).
De nombreux participants nous indiquent que leur environnement de travail a changé après être passé chez nous, et cela notamment grâce à la formation reçue. Plusieurs nous disent vouloir revenir pour un second niveau de formation. Enfin, nous avons très peu de commandes uniques : les entreprises nous renouvellent très souvent leur confiance, en nous envoyant de nouveaux collaborateurs à former.
Y a-t-il une faiblesse ou une lacune spécifique des entreprises que cette formation vient combler ?
Je ne sais pas si l’on doit parler de faiblesse ou de lacune, car ce serait faire des généralités. Certaines entreprises sont extrêmement bien gérées, d’autres le sont moins. Nous connaissons les mêmes travers dans les armées. Les entreprises nous font confiance car elles nous reconnaissent la capacité à savoir former et entrainer des chefs qui sauront prendre des décisions et diriger des hommes dans des situations extrêmement complexes et dégradées.
(1) Esprit de corps, traditions et identité dans l’armée de terre, général Bernard Thorette, 2003
(2) In Collins English French Electronic Dictionary © HarperCollins Publishers 2005
(3) In Littré
(4) Traduit de l’anglais
(1) Esprit de corps, traditions et identité dans l’armée de terre, général Bernard Thorette, 2003
(2) In Collins English French Electronic Dictionary © HarperCollins Publishers 2005
(3) In Littré
(4) Traduit de l’anglais