Plusieurs raisons peuvent amener une organisation à décider d’utiliser un outil de gestion au détriment d’un autre.

NATHALIE MERMINOD, Maître de Conférences, Aix-Marseille Université, CRET-LOG HUGUES POISSONNIER, Professeur associé, Grenoble Ecole de Management, IRIMA  Pour citer cet article : ...

Agnieszka KISTER, Maria Curie Sklodowska University in Lublin Pour citer cet article :  KISTER A., 2014, Causes and sources of hidden costs in a medical facility, Revue de Management et...

YOUSSEF ERRAMI, IRMAPE (Groupe ESC Pau), CREG (Université de Pau et des pays de l’Adour) Pour citer cet article :  ERRAMI Y. 2014, L'incidence de l'utilisation du Balanced Scorecard sur la...

L’objet de cet article est d’envisager la manière dont la gestion du coût du risque en entreprise constitue un enjeu stratégique. En ayant recours à des études de cas menées au sein d’entreprises en tant que consultant-chercheurs internes, nous démontrons qu’il existe un réel besoin de sensibilisation des dirigeants quant à la thématique du coût du risque, laquelle constitue un double enjeu de contrôle budgétaire et de sauvegarde de la valeur créée.

Sans aucun doute, le balanced scorecard (BSC) est considéré comme l’une des innovations majeures connues par le contrôle de gestion durant ces deux dernières décennies. Il a fait l’objet de plusieurs travaux de recherche dans les pays développés. Or, ce type de recherches reste toujours absent dans les pays en développement comme le Maroc par exemple. Dans ce contexte, cet article tente de contribuer, à partir d’une étude empirique réalisée auprès de 62 entreprises, à apporter un nouvel éclairage sur la relation entre BSC et performance. Dans cette étude, nous avons pu démontrer que les tableaux de bord dits « équilibrés » et qui se rapprochent du BSC entraînent une meilleure performance pour les entreprises qui les ont adoptés.